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fin euro

  • Fin de la mondialisation et dislocation de l'Europe

    Si vous me demandez et sans hésiter, nous allons assister au processus de désintégration de l’UE puisqu’il est d’ores et déjà clair qu’aucun gouvernement national ne voudra – à juste titre – risquer de perdre sa place dans la file d’attente de l’antichambre pour avoir une audience sur Pennsylvania Avenue au nom d’une position commune.fin euro,fin eurozone fin miondialisation,

    La proposition de Macron et de Pustula von der leyen prendrait au moins 3 ans pour être réalisée, compte tenu des divisions internes, des vetos croisés et de la volonté de trébucher entre alliés (autoproclamés).

    Alors, libérez tout le monde. Ordre dispersé. Il n’est donc pas surprenant que l’Allemagne, dirigée par un ancien dirigeant de BlackRock, ait tout fait toute seule. Dans l’urgence.

    L’UE est aujourd’hui sur le lit des soins intensifs. Débrancher.

    Nationalisme pour les pauvres, libéralisme pour les riches….

  • La menace fantôme ? les allemands ont choisi la relance

    Ursula von der Leyen a saisit l’occasion : l’Europe doit recommencer à s’armer jusqu’au bout. Et à la vitesse de la lumière. L’Ukraine nous le demande. Et, peut-être, l’histoire. Certainement, l’Allemagne ...

    En un temps record et grâce à une Grosse Koalition entièrement empreinte par le sens des responsabilités et de l’État et sans hésitation pro-russe, la CDU et le SPD ont inclus dans les pourparlers pour la formation du nouvel exécutif la création de deux fonds spéciaux pour financer la défense et les infrastructures. Le premier fond doté de 400 milliards et la second de 400 à 500 milliards.

    En attendant, l’Allemagne en crise fatale peut mettre en place une opération Covid 2.0 avec un effet de levier 4X sur ses comptes publics. Sans que personne ne dise rien. Il est nécessaire de s’armer avant que l’Armée rouge n’atteigne Lisbonne. Pour tous les autres, des miettes d’euro-obligations. laissant dépenser 4 fois ce qui était déjà mis en place en 2022. Sans contraintes, ni coordination, ni fiscalité commune. L’Allemagne de Friedrich Merz. Ancien Blackrock

    Money Power…

  • C le cocu qui paye la chambre

     Il n’est pas facile d’admettre que nous avons été utilisés puis abandonnés comme des chaussettes. Deux années d’automutilation russophobe étayée par 17 paquets de sanctions qui ont exposé le Vieux Continent à la nouvelle crise énergétique que nous connaissons et entraîné l’Allemagne dans une récession industrielle encore pire que celle du Covid. Et, maintenant, exclu de la table qui compte. Qui plus est, ils sont même destinés à payer la facture de la pax americana imposée par Donald Trump sans confrontation ni contradiction et que Vladimir Poutine vit comme une victoire sur tous les fronts.

    La Russie devait faire défaut et le rouble devait être réduit à la monnaie du Zimbabwe. Et au lieu de cela, il y a même un retour au G7 qui est évoqué. D’ailleurs, nous avons également assisté à la volte-face retentissante de l’OTAN sur l’entrée de Kiev dans l’Alliance et à l’hyperuranium diplomatique d’une Maison Blanche qui s’aventure dans des scénarios géopolitiques futurs dans lesquels non seulement un territoire, mais l’ensemble de l’Ukraine pourraient revenir sous le contrôle de Moscou.

     Bloomberg, explique à travers les mots d’anonymat de responsables américains – comment ce seront les autorités européennes et les pays qui paieront la facture de la paix et de la reconstruction. Un projet de loi qui, à ce jour, est budgétisé à environ 3 trillions de dollars entre investissements directs et coupes dans les dépenses sociales en faveur des dépenses militaires. Un chef-d’œuvre que seule l’UE pouvait rendre possible.