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fin euro

  • Au cœur des ténèbres d’une vie de Trumperie

    482310-Apocalypse-Now-Colonel-Kurtz-Marlon-Brando-movie.jpgTRUMP parlant de Powell le patron de la FED "c'est un homme politique qui n'est pas très intelligent. Mais il coûte une fortune au pays", a-t-il poursuivi, affirmant être "détesté" par Jerome Powell le patron de la FED. "Mais ce n'est pas grave. Vous savez, il devrait me détester. Je le traite de tous les noms pour qu'il fasse quelque chose", a-t-il continué, dans un style qui lui est propre."Nous n'avons pas d'inflation, nous n'avons que des succès. Et j'aimerais bien voir les taux d'intérêt baisser", a-t-il enfin assuré, prenant exemple sur l'Europe, le Canada ou le Royaume-Uni, qui ont tous baissé leurs taux, en partie car les droits de douane affaiblissent leur économie.

    La hiérarchie, c’est comme les étagères : plus c’est haut moins ça sert…

    Marcel la feignasse

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    Flash info sous la peau : Iran vs Israël, autre épisode dans la série interminable des jeux de guerre télévisés — mais le Marché ? Rien. Il ne cligne pas. Il suinte. Il ronronne. Il jouit. La peur connait pas…

    Non les zamis nécro. Le Marché bouffe les guerres au petit-déj, les pandémies en shot de vodka Beluga. Le Marché avale la crise, se masturbe avec la courbe des taux. C’est la loi du score, la loi du plus fort et Trump is god comme autrefois Eric Clapton le fut à la guitare.

    Pas de mémoire. Pas de morale. Seule existe la Mollahrisation du Marché et sa charia.

    Rien d’autre. Pas même l’Horreur — celle-là même que Marlon Brando chuchotait dans la jungle d’Apocalypse Now — non, ici c’est plus viscéral, plus structurel. C’est un besoin, un besoin purulent, branché directement sur la moelle des États : le marché a besoin de chaos contrôlé pour justifier ses dettes, ses perfusions, ses injections d’adrénaline monétaire.

    Regarde-les. Les shrapnels diplomatiques pleuvent avec la régularité d’un cycle menstruel globalisé. Guerre tribale 2.0 : streaming haute définition, missiles livrés avec code promo. Les différends ? Tu veux rire. Il ne s’agit plus de les résoudre, il s’agit de les produire. Nous l’avons vécu avec mes armes de destructions massive en Irak. Nous le revivons avec la menace nucléaire iranienne.

    Crise = dette = crédit = survie du système. Équation parfaite. Ne demande pas si c’est juste — c’est utile.

     L’inflation ? Jamais partie. Juste camouflée sous un algorithme trop bien payé. Et pendant que l’on accuse Téhéran, les banques centrales préparent l’opération à cœur ouvert, pour relancer l’hospice des marchés. Le marché ? Il sue l’excitation.
    La Guerre c’est du liquide.
    Volatilité, volatilité, il en faut pour que la Dette transpire,
    il en faut pour que les courbes montent.
    Le marché n’a pas besoin de paix.
    Le marché n’a pas besoin de vous.
    Le marché a besoin de nécro-récits,
    de choc, de sang, de dettes restructurées.

  • Fin de la mondialisation et dislocation de l'Europe

    Si vous me demandez et sans hésiter, nous allons assister au processus de désintégration de l’UE puisqu’il est d’ores et déjà clair qu’aucun gouvernement national ne voudra – à juste titre – risquer de perdre sa place dans la file d’attente de l’antichambre pour avoir une audience sur Pennsylvania Avenue au nom d’une position commune.fin euro,fin eurozone fin miondialisation,

    La proposition de Macron et de Pustula von der leyen prendrait au moins 3 ans pour être réalisée, compte tenu des divisions internes, des vetos croisés et de la volonté de trébucher entre alliés (autoproclamés).

    Alors, libérez tout le monde. Ordre dispersé. Il n’est donc pas surprenant que l’Allemagne, dirigée par un ancien dirigeant de BlackRock, ait tout fait toute seule. Dans l’urgence.

    L’UE est aujourd’hui sur le lit des soins intensifs. Débrancher.

    Nationalisme pour les pauvres, libéralisme pour les riches….

  • La menace fantôme ? les allemands ont choisi la relance

    Ursula von der Leyen a saisit l’occasion : l’Europe doit recommencer à s’armer jusqu’au bout. Et à la vitesse de la lumière. L’Ukraine nous le demande. Et, peut-être, l’histoire. Certainement, l’Allemagne ...

    En un temps record et grâce à une Grosse Koalition entièrement empreinte par le sens des responsabilités et de l’État et sans hésitation pro-russe, la CDU et le SPD ont inclus dans les pourparlers pour la formation du nouvel exécutif la création de deux fonds spéciaux pour financer la défense et les infrastructures. Le premier fond doté de 400 milliards et la second de 400 à 500 milliards.

    En attendant, l’Allemagne en crise fatale peut mettre en place une opération Covid 2.0 avec un effet de levier 4X sur ses comptes publics. Sans que personne ne dise rien. Il est nécessaire de s’armer avant que l’Armée rouge n’atteigne Lisbonne. Pour tous les autres, des miettes d’euro-obligations. laissant dépenser 4 fois ce qui était déjà mis en place en 2022. Sans contraintes, ni coordination, ni fiscalité commune. L’Allemagne de Friedrich Merz. Ancien Blackrock

    Money Power…